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Stéphane Plaza hausse le ton contre Médiapart et annonce porter plainte contre la journaliste en charge de l’enquête sur son affaire pour “diffamation publique, harcèlement et diffusion d’un enregistrement à caractère privé”

Écrit par sur août 23, 2024

Stéphane Plaza et ses avocats haussent le ton contre Médiapart et la journaliste Sarah Brethes qui est chargée de l’enquête sur l’animateur vedette d’M6 au sein du média. Dans un communiqué publié aujourd’hui, on découvre en effet que l’animateur a décidé de porter plainte contre la journaliste pour “diffamation publique”, “harcèlement” et “diffusion d’un enregistrement à caractère privé”.

Dans le communiqué, les avocats de Stéphane Plaza dénoncent en effet “un acharnement constant depuis plus d’un an à l’égard de Stéphane Plaza depuis près d’un an”.

Ce long communiqué de 2 pages, revient également sur les différents éléments qui ont été diffusés par Médiapart depuis plusieurs semaines.

A noter que selon nos informations exclusives, la remise en cause du contrat qui lie Stéphane Plaza et M6 n’est pas remis en cause à ce jour contrairement à ce qui a pu être indiqué, puisque le contrat entre les deux parties est valable jusqu’en 2028. Quand à RTL, aucun contrat ne lie la station et Stéphane Plaza qui ne participait que de façon ponctuelle à l’émission de Laurent Ruquier “Les Grosses Tête”.

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Voici l’essentiel du communiqué publié aujourd’hui par les avocats de Stéphane Plaza  :

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“Par le présent communiqué de presse, “les avocats de Stéphane Plaza”, entendent dénoncer les agissements illégaux de Madame Sarah BRETHES, journaliste pour MEDIAPART, portant gravement atteinte à la présomption d’innocence et aux droits de la défense de Monsieur Stéphane PLAZA, lui causant ainsi des préjudices considérables irréversibles.

En effet, Madame BRETHES n’a eu de cesse de relayer et d’appuyer les fausses accusations de femmes se liguant contre lui pour le punir de ses infidélités.

Ainsi, elle n’a pas hésité à marteler que Monsieur PLAZA reconnaissait les faits qui lui étaient reprochés, alors qu’il les a toujours fermement niés, et s’est bien gardée de révéler notamment que :

  1. « Jade », dont Monsieur PLAZA a accidentellement tordu les doigts, lui a expressément indiqué dès le lendemain qu’elle pensait qu’il n’avait pas l’intention de lui faire mal et n’a d’ailleurs pas contesté le message aux termes duquel il lui rappelait quelques jours plus tard qu’il l’avait juste écartée parce qu’elle avait voulu l’empêcher de partir.
  2. « Eva» qui prétend aujourd’hui que Monsieur PLAZA aurait été à l’origine de son augmentation mammaire a expressément reconnu que l’idée venait d’elle et qu’il n’aurait pas dû la laisser faire cette opération.

La même « Eva » qui traite le père de sa fille de « connard de père » et ne se plaint d’aucune violence de Monsieur PLAZA, plus de 8 mois après leur rencontre, lorsqu’elle écrit à ce dernier que sa fille voudrait un père comme lui.

« Julia » n’a pas déposé plainte parce qu’elle a expressément reconnu qu’elle n’avait subi ni violences physiques, ni violences psychologiques, de sorte qu’on peut se demander pourquoi Madame BRETHES en parle …

De la même manière, cette dernière n’hésite pas à diffuser un extrait de l’audio enregistré par « Eva » à l’insu de Monsieur PLAZA, coupant sciemment la partie où elle rit et crie également pour embêter les voisins qui se plaignent du bruit.

En réalité, Madame Sarah BRETHES tente encore de manipuler l’opinion publique en donnant, quelques jours seulement avant le procès, des informations, sorties de leur contexte, extrapolées, dont elle fait une interprétation personnelle, au mépris même des règles légales et des règles déontologiques de sa profession.

Elle ne cache pas son seul et unique but de faire de l’affaire PLAZA un exemple dans son combat pour la défense des violences faites aux femmes, quand bien même l’accusé ne serait pas coupable !

Si son combat est juste et justifié, elle s’est pourtant trompée de cible car Monsieur PLAZA n’est pas violent et entend bien rétablir la vérité lors de son procès.

A toutes fins, nous précisons que des plaintes visant Madame BRETHES sont en cours (…).”