Lourdes: Un homme retranché dans un logement avec un otage depuis ce midi – Deux personnes ont été libérées

Les trois otages auraient été mis en sécurité avant l’intervention du RAID. Le forcené était armé d’un fusil à pompe selon France 3. Ce dernier qui est un ancien militaire, aurait agi dans le cadre d’un conflit d’ordre familial. Il aurait tenté de se suicider.

17h20. Le preneur d’otages a été interpellé. Son ex-conjointe a été blessée au bassin par un tir du forcené. Le RAID est intervenu à 16h45.

Selon France 3, deux otages ont été libérés. Ils sont sains et saufs, d’après une source policière. Le preneur d’otages est toujours retranché sur les lieux avec son ancienne compagne
Le procureur de la République de Tarbes, Pierre Aurignac, explique à La Dépêche que “le forcené, âgé de 50 ans, est l’ancien conjoint d’une des otages. Nous avons déjà eu affaire à ce monsieur”. 
Une personne, qui a tiré “des coups de feu vers l’extérieur”, est retranchée mardi à son domicile de Lourdes où elle retiendrait “deux ou trois personnes”, provoquant l’intervention du Raid, a annoncé la préfecture des Hautes-Pyrénées. “Vers 11h ce (mardi) matin, des témoins ont entendu des coups de feu rue Mozart à Lourdes, derrière la gare.

Il s’agit d’un individu retranché à son domicile ayant tiré des coups de feu vers l’extérieur”, a indiqué la préfecture dans un communiqué. Un conflit familial ? Cette personne retiendrait “deux ou trois personnes”, selon la même source.

Selon les informations du service police-justice d’Europe 1, la piste du conflit familial est évoquée. Un périmètre de sécurité a été déployé et les habitations proches ont été évacuées, a précisé la préfecture.

Des unités de Toulouse du Raid sont arrivées sur place ainsi que des équipes de sapeurs pompiers et du SAMU.
Selon France 3 Occitanie, il s’agit d’un homme armé qui est retourné au domicile de son ex-compagne. Celle-ci, sa fille, ainsi qu’une tierce personne sont retenues en otage par le forcené.
 Selon LCI, l’individu est un ancien militaire. Il s’agirait d’une affaire de droit commun et non terroriste.
Selon les riverains, il y aurait entre deux et trois personnes dans la maison, en plus du tireur”, précise La Dépêche qui indique que “les personnes retenues seraient une femme et son mari, qui habitent la maison en question. Impossible de confirmer si une troisième personne, qui pourrait être leur fille, s’y trouve également”.