Le Groupe Canal dément les infos du Parisien sur une « rupture avec Cyril Hanouna : « Notre fidélité est sans faille après 12 ans et nous étudions des alternatives pour le garder sur nos antennes »
Écrit par Jonathan PIRIOU sur octobre 20, 2024
Dans un long article publié hier soir et repris des centaines de fois sur les réseaux sociaux, sans aucune vérification, Le Parisien affirmait que la rupture était consommée entre Cyril Hanouna et le Groupe Canal Plus et que l’animateur vedette était sur le point de tourner la page C8 et la page Canal !
Pire encore, l’article évoquait une fin possible de Tpmp dès le 20 décembre 2024 et non le 28 février 2025date de fin de la fréquence de C8.
Fait rare, face à l’emballement provoqué par cet article, le Groupe Canal a décidé de réagir voir deux tweets postés par Gerald-Brice Viret, DG du groupe en charge des programmes.
Ainsi, il affirme que l’engagement du Groupe aux côtés de Cyril Hanouna est “sans faille”:
»Afin de dissiper tout doute ayant été soulevé par l’article de @le_Parisien, nous réaffirmons que @TPMP sera diffusée jusqu’au dernier jour où la fréquence de @C8TV le permettra, soit le 28 février 2025.
En ne présélectionnant pas C8 pour le renouvellement de sa fréquence, l’@Arcom_fr menace la poursuite des émissions phares de la chaîne, comme @TPMP.
Contrairement à ce qui est déclaré dans l’article de @le_Parisien ci-dessous, nous déployons tous nos efforts pour envisager des alternatives permettant de préserver la présence de Cyril Hanouna sur nos antennes après 12 ans de fidélité et d’amitié avec le groupe.
Notre engagement envers @Cyrilhanouna, l’un des animateurs les plus talentueux et reconnus en France, est indéfectible.
Il s’agit aussi d’apporter notre plein soutien aux 400 collaborateurs dont l’emploi est directement menacé par cette décision et pour qui cette situation est particulièrement préoccupante.
Leur expertise et leur travail placent cette année @C8TV comme la chaîne numéro 1 de la TNT et permettent, en fédérant les plus jeunes comme nos aînés, de créer un espace démocratique devenu indispensable au paysage audiovisuel français.
Face à cette situation inédite, nous avons déposé un recours au Conseil d’État.”