Australie : Au moins 6 morts et 7 blessés dont une maman et son bébé poignardés dans un centre commercial de Sydney – Les motivations de l’assaillant, qui semble avoir agi seul, ne sont pas connues
Écrit par Jonathan PIRIOU sur avril 13, 2024
Plusieurs personnes» ont été poignardées dans un centre commercial de Sydney, a déclaré samedi la police australienne. Six ont perdu la vie et sept autres, dont un bébé de neuf mois, ont été hospitalisées, a-t-elle précisé
. L’agression s’est produite dans le centre commercial Westfield Bondi Junction, qui a été fermé, la police australienne appelant la population à éviter la zone.
Les services ambulanciers de l’État de Nouvelle-Galles du Sud ont indiqué à l’AFP qu’un homme avait été abattu par la police, et qu’il s’agissait probablement de l’assaillant.
La police n’a pas précisé le motif de l’agression dans l’immédiat. «Je ne sais pas encore qui il est (l’assaillant, NDLR). Vous comprendrez qu’il s’agit d’une affaire très complexe. Les enquêtes sont très récentes et nous continuons à tenter d’identifier le coupable», a indiqué Anthony Cooke, commissaire adjoint de la police de l’État de Nouvelle-Galles du Sud.
L’auteur de l’attaque semble avoir «agi seul», a précisé le premier ministre australien Anthony Albanese lors d’une conférence de presse. «Pour nous tous ce soir, les scènes effroyables de Bondi Junction (nom du centre commercial, ndlr) dépassent les mots et la compréhension», a-t-il également déclaré. Un homme muni d’un grand couteau
La tragédie s’est produite dans le vaste complexe commercial Westfield Bondi Junction, qui était bondé de clients samedi après-midi.
Des témoins oculaires ont décrit des scènes de panique, les clients courant pour se mettre à l’abri et la police essayant de sécuriser la zone. Des images des caméras de sécurité diffusées par les médias locaux montrent un homme courant dans le centre commercial, un grand couteau à la main, et des personnes blessées gisant sur le sol. «Les premières pensées de tous les Australiens sont avec ceux qui sont affectés et avec leurs proches», a écrit sur le réseau social X Anthony Albanese. Lors d’une conférence de presse tenue peu après l’attaque, Anthony Cooke, commissaire adjoint de la police de Nouvelle-Galles du Sud, État où se trouve Sydney, a fait savoir que les motivations de l’assaillant ne sont pour l’heure pas connues. “Les forces de l’ordre n’ont aucune indication sur le mobile de l’homme”, a-t-il souligné. “Je ne sais pas encore qui il est. Vous comprendrez qu’il s’agit d’une affaire très complexe. Les enquêtes sont très récentes et nous continuons à tenter d’identifier le coupable”, a-t-il ajouté.L’auteur de l’attaque au couteau perpétrée samedi dans un centre commercial de Sydney, en Australie, semble avoir “agi seul”, a affirmé le Premier ministre australien Anthony Albanese lors d’une conférence de presse. “Pour nous tous ce soir, les scènes effroyables de Bondi Junction (nom du centre commercial, ndlr) dépassent les mots et la compréhension”, a-t-il également déclaré.
L’assaillant semble avoir agi seul, a déclaré le Premier ministre australien Antony Albanese lors d’une conférence de presse. “Pour nous tous ce soir, les scènes effroyables de Bondi Junction dépassent les mots et la compréhension”, a-t-il ajouté. Des images de caméras de surveillance diffusées par des médias australiens ont montré un homme muni d’un grand couteau courant dans le centre commercial, et des personnes blessées gisant au sol.
Les lieux ont rapidement été évacués peu après le début de l’attaque et l’intervention de la police. Plusieurs personnes se sont réfugiées dans un supermarché, où elles sont restées pendant une heure environ.
A la tombée de la nuit, des dizaines de policiers et d’ambulances se trouvaient encore à l’extérieur du centre commercial, les civières prêtes à transporter les blessés vers des hôpitaux voisins. Ce type d’attaque est extrêmement rare en Australie.
En novembre 2018, un individu armé d’un couteau avait tué une personne et en avait blessé deux autres dans une rue de Melbourne avant d’être abattu par la police. Le crime avait été revendiqué par le groupe Etat islamique (EI).