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Deux ans après, la France rend hommage aux victimes du 13-Novembre

Écrit par sur novembre 13, 2017

Emmanuel Macron, accompagné de son épouse, Brigitte Macron, et en présence de son prédécesseur, François Hollande, a rendu hommage lundi aux victimes des attentats du 13 novembre 2015, en observant une minute de silence sur les six lieux des attaques à Paris et à Saint-Denis.

Le Stade de France, Le Carillon et Le Petit Cambodge, La Bonne Bière et Casa Nostra, le Comptoir Voltaire, La Belle Equipe et enfin la salle de concert du Bataclan : le même cérémonial — lecture des noms des personnes tuées, dépôt de gerbe, minute de silence, échanges avec les familles de victimes — s’est répété tout au long de la matinée en hommage aux 130 morts et plus de 350 blessés.

Lâcher de ballons

A 9 heures, le président Macron était au Stade de France (Seine-Saint-Denis), au côté notamment d’élus locaux et régionaux — la maire de Paris, Anne Hidalgo la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, les présidents du Sénat, Gérard Larcher, et de l’Assemblée nationale, François de Rugy, le député de la Seine-Saint-Denis Eric Coquerel —, du ministre de l’intérieur, Gérard Collomb, et de la ministre de la justice, Nicole Belloubet. Il a déposé en compagnie du maire de Saint-Denis, Laurent Russier, une gerbe de fleurs en mémoire de Manuel Dias, tué aux abords du Stade de France.

Emmanuel Macron, accompagné de son épouse, Brigitte Macron, et en présence de son prédécesseur, François Hollande, a rendu hommage lundi aux victimes des attentats du 13 novembre 2015, en observant une minute de silence sur les six lieux des attaques à Paris et à Saint-Denis.

Le Stade de France, Le Carillon et Le Petit Cambodge, La Bonne Bière et Casa Nostra, le Comptoir Voltaire, La Belle Equipe et enfin la salle de concert du Bataclan : le même cérémonial — lecture des noms des personnes tuées, dépôt de gerbe, minute de silence, échanges avec les familles de victimes — s’est répété tout au long de la matinée en hommage aux 130 morts et plus de 350 blessés.

Lâcher de ballons

A 9 heures, le président Macron était au Stade de France (Seine-Saint-Denis), au côté notamment d’élus locaux et régionaux — la maire de Paris, Anne Hidalgo la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, les présidents du Sénat, Gérard Larcher, et de l’Assemblée nationale, François de Rugy, le député de la Seine-Saint-Denis Eric Coquerel —, du ministre de l’intérieur, Gérard Collomb, et de la ministre de la justice, Nicole Belloubet. Il a déposé en compagnie du maire de Saint-Denis, Laurent Russier, une gerbe de fleurs en mémoire de Manuel Dias, tué aux abords du Stade de France.Vers midi, le chef de l’Etat était sur la place de la mairie du 11e arrondissement, où l’association de familles de victimes Life for Paris organisait une cérémonie se terminant par un lâcher de ballons, comme ce fut le cas en 2016.

Hommage surprise d’EODM

Après le rassemblement organisé par l’association, deux membres des Eagles of Death Metal, dont le chanteur, Jesse Hughes, très ému, ont improvisé un miniconcert surprise de quelques minutes, devant la mairie.

Le groupe de rock californien, qui était sur la scène de la salle du Bataclan le soir des attentats, a interprété deux titres : Save a Prayer, le dernier morceau entier qu’ils avaient joué il y a deux ans avant que l’attaque ne commence, puis I Love You All The Time. Jesse Hughes a ensuite distribué des roses blanches à des proches de victimes.

Le 13 novembre 2015, la France fut frappée par les pires attaques terroristes de son histoire. Les neuf assaillants firent 90 morts Bataclan, 39 aux terrasses de plusieurs bars et restaurants et un près du Stade de France. L’organisation djihadiste Etat islamique avait revendiqué ces attentats.

« Rester mobilisés »

«Je pense qu’on peut regarder le pays en se disant qu’il a tenu, a déclaré le premier ministre, Edouard Philippe, lundi matin sur France Inter. Il a su trouver des réponses juridiques, militaires à certains égards, mais aussi une forme d’attachement à ce qu’il est, d’attachement résolu à une façon d’être, une façon de vivre qui ne veut pas être remise en cause. Je constate que la France est toujours la France. »