Alain Delon – L’avocat de la “Dame de compagnie” Hiromi Rollin, estime sur RTL que la famille se déchire pour l’héritage : “Les enfants ont peut-être fait signer des documents à leur père, alors qu’il n’est pas en état
Écrit par Jonathan PIRIOU sur janvier 4, 2024
La main courante déposée par Anthony Delon, à propos de sa soeur Anouchka donne un tour différent aux affaires qui touchent la famille depuis quelques semaines. L’avocat de la “dame de compagnie” Hiromi Rollin, était ce matin sur RTL et il estime que cette guerre interne au sein de la famille Delon pourrait être uniquement financier pour des questions d’héritages” :
Et Maître Yassine Bouzrou d’ajouter que cinq tests cognitifs sur l’acteur ont été pratiqués entre 2019 et 2022 : “Selon moi ces éléments médicaux montrent que peut-être les enfants ont fait signer des documents à leur père alors que celui-ci ne disposait pas des facultés qui lui permettaient de les signer.
Vous l’aurez compris, il attaque en justice sa sœur. Lorsqu’on constate que cette famille qui avait l’air uni contre ma cliente alors qu’en réalité, on constate qu’il y a une guerre judiciaire interne au sein de cette famille”.
Anthony Delon, fils aîné de l’acteur, a déposé le 7 novembre une main courante à la police contre sa demi-sœur, Anouchka. Selon lui, cette dernière lui a caché « la détresse dont souffrait [leur] père », qui aurait été soumis à plusieurs tests cognitifs depuis 2019. Cet été, la famille s’était unie pour porter plainte pour abus de faiblesse contre Hiromi Rollin, la « dame de compagnie » de la star.
Selon lui, Anouchka lui aurait caché plusieurs tests médicaux effectués entre 2019 et 2022, soit après l’AVC d’Alain Delon, et qui révélerait une nette dégradation de ses capacités cognitives. Anthony Delon estime que sa sœur aurait ainsi « dissimulé » l’état de détresse d’Alain Delon, le mettant en danger. Et plus particulièrement à cause de la « dame de compagnie » de l’acteur, Hiromi Rollin, déjà dans le viseur des enfants.
Le 5 juillet dernier, ils déposaient plainte contre elle pour « abus de faiblesse », « détournements de correspondance » et « harcèlement moral ».